J\'aime bien tes poèmes mais ils me rendent mélancolique.');"> Pas très gai tout ça. J'aime bien tes poèmes mais ils me rendent mélancolique.
Mandolarean
La mort
Ô Mort! Belle et froide mère! Tu étouffe même les nourrisons De tes mains irréelles, d'éther Tu détruit tout ces enfancons!
Ô mort! De pitié, tu n'as pas! Maitresse de la vie Vile dame de l'effroi Glisse-toi dans mon lit!
Ô mort! De ton étreinte! Jamais on ne se libere Une douleur non feinte Assassine les mères!
Ô mort! Sombre amie Moi, devenu condamné Je t'ai accueuillit Tu n'a pu refuser!
Le destin
Je marche dans la brume La brume qui m'engloutit J'avance dans la brume La brume qui me détruit
Coeur noir sur fond blanc Ayant trempé son ame dans le sang Esprit déchiré par une épée invisible Et corps détruit par une main intangible
Je suis l'incarnation de l'horreur De toute tes plus grandes peurs Mais je suis aussi ton bonheur Toute la joie de ton coeur
J'ai visité les mythes et les légendes J'ai erré dans nombres de landes Voyages d'Atlantide a Avalon Parmis belles îles et hauts monts
Je marche dans le sang Les cadavres qui gisent sans vie J'avance d'un pas lent Entre morts et corps pourris
Je suis qui passe et qui sourit Devant ton agonie lente et derniere Je suis le prêtre qui se réjouit De t'adresser ta longue priere
J'allume ton bucher Et suis ton bourreau J'ai béni les mariés Et arraché ta peau
Brule, brule, brule! Je suis ton destin! Flambe et hurle! Je suis ta fin!!!
L'épée
Cogne le fer Mord la chair Fracasse la terre Va en enfer!
Je suis ton reve Et ton pire cauchemar La ou le soleil se leve Je vit tel un phare Lame d'acier D'un fil aiguisé Poignée enchantée Destinée a tuer!
Egorge les enfants Détruit les parents Le père en tuant La mère en brulant!
On m'a dit souvent Que j'était maléfique Malheureusement Pronomcez "hérétique!"
On m'a donné de noms Des milliers et nombreux Mais pour le bon Ca n'était qu'un jeu La grande et terrible Durandal Venant des profonds vals La magnifique Excalibur Qui ouvre tout les murs!
J'ai servit les plus fort Comme Arthur le roi Mais sans mon beau corps Il n'auraient ni foi ni loi!
Je suis la lame noire Et l'épée de justice Vendue sur une foire Et brise les maléfices!
Donnée au tac-o-tac J'en ai marre des idiots Revois la dame du lac Et rend le dernier mot Forgée par la nation Des lutins saxons Des futur-moribonds Bénis soit leurs noms!
Je suis ton pere Ta mere et ton frere Va voir Lucifer Va bruler en enfer!
Divers
Le monde est pourri Ne cherchez pas le bonheur Une source d'ennui Un nid perpétuant les horreurs
Un corps seul Dans l'eau sombre En plein deuil Tel une ombre
La mort l'accueile De ses bras de glace Elle prépare son linceul Lui voile la face
Soudain une lumière Dans la nuit Une nouvelle ère Arrive sans bruit
Seigneur de l'effroi Approche-toi Regarde moi Détruit-moi!
Divers N°2
Tard dans la nuit A l'ombre d'un mur Regne le fruit D'une alliance impure
Ombre de glace Coeur noir sur fond blanc Telle une masse Tel un enfant
Il se languit D'une créature Pendant la nuit Une torture
Tiraillé par le sang La mort et l'horreur Destin effrayant D'une froide rumeur
Son ame est vivante Convoitée par le démon Si attirante Ce corps en dit long
Voyant dans ses rêves Son plus cher désir Pareille a une fève Sur le point de mourrir
Le sang s'écoule Inorexablement La mort déboule Toujours si tentant!