| Dernières réponses | |  Dans l'ombre du couloir, une longue silhouette semblait flotter dans la direction du bureau. Lidz poussa doucement Maxim dans la pièce, entra à son tour et claqua la porte derrière lui.Maxim, surprise, trébucha en reculant pousser par l'inconnu. Elle regarda d'un oeil interrogateur la personne qui osait la bouscouler ainsi.
[Lidz] "Bonjour Max" dit lui dit la voix froide de l'inconnu.
[Maxim] "Lidz? répondit Maxim qui sembla reconnaitre la voix mais pas le visiteur, qui se tenait toujours dans un coin noir de la pièce.
Lidz sortie de l'ombre, regarda Maxim de ses yeux verts intenses et lui fit un sourire qui éclaira son visage.
[Lidz] "Toujours sur tes gardes, c'est bien. Cela prouve que tu as retenue quelque chose de nos lecons dans ta petite tête" dit-il froidement, son sourire, lui, toujours éclatant.
[Maxim] "Qu'est que tu fais ici? Je croyais pourtant que tout était clair et..." dit Maxim, mais elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase, Lidz venait de poser son doigt sur les lèvres de la jeune fille qui le regarda d'un air interdit.
[Lidz] "Je voulais seulement te voir" dit le jeune homme sur un ton de reproche. "Et aussi te dire que celui que tu redoutes le plus, est de retour à Mitaphie" dit-il en étirant son sourire et découvrit toute ses dents d'une blancheur excessive.
[Maxim] "QUOI?" cria Maxim interloqué, mais avant qu'elle eut temps de faire un geste, l'homme avait ouvert la porte à la volée et s'élancait silencieusement dans le couloir. Il se retourna, sourit une dernière fois, et disparu dans le corridor obscur.
[Lidz] ----> La taverne
Stupéfaite et déconfite, Maxim se retourna dans son bureau. Que voulait dire cette visite impromptu de Lidz. Habituellement, il se révélait plus amical. Maxim eut un frisson dans le dos.
*Si il est vraiment revenue, je dois absolument me préparer* se dit-elle en essayant du mieux qu'elle le pu de se resaisir. Elle fixa les yeux sur l'horloge et poussa un petit cris de fureur. Son cours allait bientôt commencer, il fallait qu'elle se dépêche. Et elle sortit à son tour du bureau, envelopper par l'obscurité.
[Maxim] ----> Pratique de la magie noir
Message édité le 14-10-2005 à 19:15:20 par Maxim T. Bastien |
| | Après plusieurs minutes plonger dans son livre, réveillez de sa torpeur par un bruit étrange venant du couloir, Maxim leva la tête, fixa la porte, s'attendant à voir sugir quelque chose dans son bureau. Pris d'un vertige, elle secoua la tête et essaya de se rassurer.
*Tu es dans les sous-sols imbécile, ce doit être une souris ou quelque chose dans ce genre là.*
Elle se leva quand même, refermant son livre d'un geste sec dans le même élan et regarda sa montre. Surprise de l'heure qui c'était si vite envoler, elle rangea le livre dans le premier tiroir du bureau et se dirigea vers la porte d'un pas rapide.
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| | Maxim arriva devant la porte qu'on lui avait signaler comme étant la sienne. Elle regarda à droite et à gauche avant de poser la main sur la poignée glacée. Le couloir était désert et éclairer par une simple lanterne accrocher au mur. Elle tourna lentement la poignée de la porte qui poussa un lamentation lorsque, du plat de la main, elle la fit s'ouvrir.
Maxim entra prudement. La pièce était plonger dans l'obscurité total, on ne voyait absolument rien. Une minuscule boule de poil noir se frottait contre ses cheville. On ne voyait que ces yeux éclairer dans le noir. Maxim avanca tranquillement dans la pièce pour ne rien heurter. Elle se frappa les jambes contre un énorme bureau. Dans la pièce, l'air était glacial et les dents lui tremblait. Elle contourna le bureau à la recherche de la cheminée.
*J'aurais bien du amener une chandelle* se dit-elle, furieuse contre elle-même.
Son chat se mit soudain à miauler.
*Il doit avoir trouver la cheminée* pensa t'elle en suivant le minuscule bruit qui brisait le lourd silence.
Elle arriva enfin à ce qui ressemblait à une cheminée de pierre. Elle se pencha sur l'antre et craqua un allumette. Une douce lumière enveloppa la pièce. Elle se releva en remerciant son chat de l'avoir si bien guider. Elle jeta un coup d'oeil a sur ce qui l'entourait. Tout était si lugubre, on dirait que personne n'avait mis les pieds ici depuis bien longtemps. Elle rejoignit le bureau, se laissa tomber sur la chaise. Un peu pétrifier par ce qui l'attendait, elle pris dans son seul sac le seul livre qu'elle possédait, l'ouvrit et se mit à lire.
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